ANTZ (É.-U., 1998)
Réalisé par Eric Darnell et Tim Johnson
Avec les voix de Woody Allen, Dan Aykroyd, Danny Glover, Gene Hackman, Jennifer Lopez, Sharon Stone, Sylvester Stallone, Christopher Walken et un paquet d’autres voix très connues
Résumé en une phrase: Une fourmi égomaniaque, névrosée et sans couille décide de plier l’univers à sa volonté, et tente de se justifier par un beau gros discours sur la liberté individuelle.
Précision sur le résumé en une phrase:Non. Je n’ai pas confondu avec un discours de George Bush.
Attaque de cliché: Me semble que les visages des fourmis du film ont tous quelque chose de familier…
Précision sur la C.I. en général: Au lieu de mettre des petites photos comme d’habitude, je vais illustrer ce que je veux dire dans l’attaque de cliché.
Commentaire sur le casting: Vous avez lu? Non? Ben allez voir en haut et revenez… C’est fait? Bon. Ça vous laisse quoi, comme impression? Exactement. Moi aussi. Dreamworks met vraiment toute la sauce pour planter Disney.
Moment hétérosexuel: La reine qui pond des bébés sans arrêt tout en discutant d’une intervention militaire, comme si de rien n’était. Faire des bébés sans même s’en rendre compte?!? C’est ça, au fond, le comble de l’hétérosexualité.
Hommage excessif: À Woody Allen. Le film commence avec une fourmi chez son psychanalyste. Besoin d’ajouter quelque chose?
Citation du film: “It’s not easy being the middle child in a family of 5 million.”
Impressionnez vos amis: Lisez Les Fourmis de Bernard Werber et écoutez le film en passant un commentaire à chaque invraisemblance. Bon. Vous allez vous faire taper dessus parce que vous allez parler encore plus que Woody Allen, mais faut être prêt à se sacrifier un peu.
Ben oui, ben oui: L’animation est excellente. Les personnages ont été conçus pour bien aller avec leur voix humaine. C’est dit. On peut passer à autre chose?
Petit commentaire bonus: C’est un des films les plus américains jamais réalisé. Le héros se plaint de l’environnement qui ne lui laisse pas suffisamment exprimer son petit moi, mais tout ce qu’il veut, c’est se taper la princesse. La pyramide du pouvoir ne le dérange pas. La seule chose qui le dérange, c’est de ne pas être au sommet.
Publié par Le Parano
Réalisé par Eric Darnell et Tim Johnson
Avec les voix de Woody Allen, Dan Aykroyd, Danny Glover, Gene Hackman, Jennifer Lopez, Sharon Stone, Sylvester Stallone, Christopher Walken et un paquet d’autres voix très connues
Résumé en une phrase: Une fourmi égomaniaque, névrosée et sans couille décide de plier l’univers à sa volonté, et tente de se justifier par un beau gros discours sur la liberté individuelle.
Précision sur le résumé en une phrase:Non. Je n’ai pas confondu avec un discours de George Bush.
Attaque de cliché: Me semble que les visages des fourmis du film ont tous quelque chose de familier…
Précision sur la C.I. en général: Au lieu de mettre des petites photos comme d’habitude, je vais illustrer ce que je veux dire dans l’attaque de cliché.
Commentaire sur le casting: Vous avez lu? Non? Ben allez voir en haut et revenez… C’est fait? Bon. Ça vous laisse quoi, comme impression? Exactement. Moi aussi. Dreamworks met vraiment toute la sauce pour planter Disney.
Moment hétérosexuel: La reine qui pond des bébés sans arrêt tout en discutant d’une intervention militaire, comme si de rien n’était. Faire des bébés sans même s’en rendre compte?!? C’est ça, au fond, le comble de l’hétérosexualité.
Hommage excessif: À Woody Allen. Le film commence avec une fourmi chez son psychanalyste. Besoin d’ajouter quelque chose?
Citation du film: “It’s not easy being the middle child in a family of 5 million.”
Impressionnez vos amis: Lisez Les Fourmis de Bernard Werber et écoutez le film en passant un commentaire à chaque invraisemblance. Bon. Vous allez vous faire taper dessus parce que vous allez parler encore plus que Woody Allen, mais faut être prêt à se sacrifier un peu.
Ben oui, ben oui: L’animation est excellente. Les personnages ont été conçus pour bien aller avec leur voix humaine. C’est dit. On peut passer à autre chose?
Petit commentaire bonus: C’est un des films les plus américains jamais réalisé. Le héros se plaint de l’environnement qui ne lui laisse pas suffisamment exprimer son petit moi, mais tout ce qu’il veut, c’est se taper la princesse. La pyramide du pouvoir ne le dérange pas. La seule chose qui le dérange, c’est de ne pas être au sommet.
Publié par Le Parano