Probablement que je pourrais me faire tirer des roches par certains, tandis que d'autres pourraient trouver que quelques unes de mes idées sont bonnes, mais en discutant avec plusieurs personnes dernièrement et dans la fameuse mouvance de la grève étudiante de l'an dernier il me semble que le Québec serait mature pour un profond changement de son système d'éducation.
Mais idées ne sont nullement approfondies et ne s'appuient sur aucune recherche. Je me disais seulement que dans un optique de "gratuité scolaire", du moins, de baisse des frais de scolarité et d'accessibilité, tout en axant l'éducation vers une vision plus "pratique" de la chose, certaines mesures pourraient êtres prises ?
L'une des premières choses que je pense sur laquelle un gouvernement devrait éventuellement se pencher serait l'abolition des DEC pré-universitaires au Collégial. Je pense que conserver le secteur Technique est une très bonne chose, mais que le pré-universitaire pourrait être remplacé par un secondaire 6.
Certains cours de base obligatoires comme la Philo et le Français au Collégial pourraient être revus et annexés au programme de la 5e et 6e secondaire. Il me semble qu'un cours d'économie "personnel" et non "général" devrait également être donné aux étudiants. Pas besoin de rajouter des cours d'histoire comme le souhaite le gouvernement Marois. Le secondaire 6 pourrait transitoirement se donner dans les établissement collégial étant donner qu'il reprendrait en grande partie certains cours réguliers.
En secondaire 5 et 6 les jeunes pourrait devoir l'obligation de choisir (1 par trimestre) une activité parascolaire gratuite parallèle à l'enseignement les amenant à toucher différents secteurs d'activités.
En plus de l'option d'une année de mise à niveau, une année d'orientation devrait être offerte aux étudiants ne sachant pas dans quel domaine se diriger. (Où un mixte des deux, selon le cas) L'étudiant aurait à accomplir un certains nombre de stages non-rémunérés de une ou plusieurs semaines ainsi qu'un rapport et des cours et services intégrés afin de l'aider à trouver un emploi qui l'intéresse.
Les techniques durent 3 ans, je bonifierais les programmes d'une année supplémentaire en misant davantage sur l'intégration sur le marché du travail des étudiants et la pratique. Pourquoi pas des semaines de 3 jours de classe et 2 jours en milieu de travail (non-payé) les 2 dernières années.
Toutes les techniques devraient avoir un stage obligatoire (rémunéré ou non) dès la fin de la 1ere année pour que les étudiants constatent qu'ils sont dans le bon domaine ou non.
Le retour de la taxe à l'échec au collégial pourrait également être une source de revenu intéressante afin de financer en partie le système de l'éducation. Taxes à l'échec progressive selon que ce soit le 1er, le 2e, le 3e echec de l'étudiant, etc ... (Taxes non applicable selon certaines conditions bien évidement)
Un peu comme il se fait ailleurs l'étudiant aurait le choix de se diriger après son secondaire 6 directement vers l'université. Il aura toujours l'occasion de se mettre à niveau s'il lui manque des cours préalable en allant une année au Collégial. Le système universitaire devrait également être quelque peu revue afin de prendre en compte la réorganisation des niveau d'éducation subséquents.
Je pense que le système de l'éducation ne devrait pas être axé sur le travail d'équipe comme le veut la nouvelle réforme, mais davantage sur le choix et la connaissance de soit et du marché du travail. Que les jeunes sortent du niveau secondaire avec une année de maturité de plus et de meilleurs outils afin de choisir leur avenir. Que ce soit un DEP, une technique ou un programme universitaire. Ceux qui ne sont toujours pas éclairé aurait la possibilité d'aller chercher de l'aide supplémentaire.
Davantage de bourse au mérite devraient être distribué et la moyenne de passage augmentée à 70% au niveau technique lors des 2 dernières années qui en seraient de spécialisation.
Le but serait d'éliminer le plus possible les fameux étudiants professionnels qui cogitent entre divers programmes au collégial et qui souvent poursuivent leur carrière à l'université.
Étant moi même une personne indécise qui a profité (malheureusement avec du recul) de certaines largesses du système, je pense que davantage d'encadrement pour aider et intégrer les étudiants dans le marché du travail serait bénéfique.
Bon, dit de cette façon, il y a plusieurs idées qui pourraient s'appliquer difficilement, mais il y a des pistes ici et là que je trouve intéressantes.
Mais idées ne sont nullement approfondies et ne s'appuient sur aucune recherche. Je me disais seulement que dans un optique de "gratuité scolaire", du moins, de baisse des frais de scolarité et d'accessibilité, tout en axant l'éducation vers une vision plus "pratique" de la chose, certaines mesures pourraient êtres prises ?
L'une des premières choses que je pense sur laquelle un gouvernement devrait éventuellement se pencher serait l'abolition des DEC pré-universitaires au Collégial. Je pense que conserver le secteur Technique est une très bonne chose, mais que le pré-universitaire pourrait être remplacé par un secondaire 6.
Certains cours de base obligatoires comme la Philo et le Français au Collégial pourraient être revus et annexés au programme de la 5e et 6e secondaire. Il me semble qu'un cours d'économie "personnel" et non "général" devrait également être donné aux étudiants. Pas besoin de rajouter des cours d'histoire comme le souhaite le gouvernement Marois. Le secondaire 6 pourrait transitoirement se donner dans les établissement collégial étant donner qu'il reprendrait en grande partie certains cours réguliers.
En secondaire 5 et 6 les jeunes pourrait devoir l'obligation de choisir (1 par trimestre) une activité parascolaire gratuite parallèle à l'enseignement les amenant à toucher différents secteurs d'activités.
En plus de l'option d'une année de mise à niveau, une année d'orientation devrait être offerte aux étudiants ne sachant pas dans quel domaine se diriger. (Où un mixte des deux, selon le cas) L'étudiant aurait à accomplir un certains nombre de stages non-rémunérés de une ou plusieurs semaines ainsi qu'un rapport et des cours et services intégrés afin de l'aider à trouver un emploi qui l'intéresse.
Les techniques durent 3 ans, je bonifierais les programmes d'une année supplémentaire en misant davantage sur l'intégration sur le marché du travail des étudiants et la pratique. Pourquoi pas des semaines de 3 jours de classe et 2 jours en milieu de travail (non-payé) les 2 dernières années.
Toutes les techniques devraient avoir un stage obligatoire (rémunéré ou non) dès la fin de la 1ere année pour que les étudiants constatent qu'ils sont dans le bon domaine ou non.
Le retour de la taxe à l'échec au collégial pourrait également être une source de revenu intéressante afin de financer en partie le système de l'éducation. Taxes à l'échec progressive selon que ce soit le 1er, le 2e, le 3e echec de l'étudiant, etc ... (Taxes non applicable selon certaines conditions bien évidement)
Un peu comme il se fait ailleurs l'étudiant aurait le choix de se diriger après son secondaire 6 directement vers l'université. Il aura toujours l'occasion de se mettre à niveau s'il lui manque des cours préalable en allant une année au Collégial. Le système universitaire devrait également être quelque peu revue afin de prendre en compte la réorganisation des niveau d'éducation subséquents.
Je pense que le système de l'éducation ne devrait pas être axé sur le travail d'équipe comme le veut la nouvelle réforme, mais davantage sur le choix et la connaissance de soit et du marché du travail. Que les jeunes sortent du niveau secondaire avec une année de maturité de plus et de meilleurs outils afin de choisir leur avenir. Que ce soit un DEP, une technique ou un programme universitaire. Ceux qui ne sont toujours pas éclairé aurait la possibilité d'aller chercher de l'aide supplémentaire.
Davantage de bourse au mérite devraient être distribué et la moyenne de passage augmentée à 70% au niveau technique lors des 2 dernières années qui en seraient de spécialisation.
Le but serait d'éliminer le plus possible les fameux étudiants professionnels qui cogitent entre divers programmes au collégial et qui souvent poursuivent leur carrière à l'université.
Étant moi même une personne indécise qui a profité (malheureusement avec du recul) de certaines largesses du système, je pense que davantage d'encadrement pour aider et intégrer les étudiants dans le marché du travail serait bénéfique.
Bon, dit de cette façon, il y a plusieurs idées qui pourraient s'appliquer difficilement, mais il y a des pistes ici et là que je trouve intéressantes.